Voici, comme chaque année, notre compte-rendu de l'un des rendez-vous les plus importants en France concernant le cinéma de genre. Si la compétition devient rude (Etrange Festival, Hallucinations Collectives, PIFFF etc.) et témoigne au moins d'un intérêt immense pour ces cinémas qui semble n'échapper qu'à ceux qui nous le vendent, Gérardmer reste, malgré des défauts de programmation et une direction de plus en plus "auteurisante", un gigantesque viver de films en tous genres, où nous serions bien en peine de ne pas trouver notre compte, ne serait-ce qu'un minimum.

mexicano horror

Cette année, plus que les autres années peut-être, il nous aura été difficile de tout voir. Beaucoup de films, pas mal de choix crève-coeurs, quelques mauvais choix aussi. Si bien que nous n'avons pas vu Mama, par exemple. Ni Toad Road. Qu'importe. Une vingtaine de films vus tout de même (dont une excellente rétrospective du non moins excellent réalisateur mexicain Carlos Enrique Taboada) donc forcément à boire et à manger.

Si les films qui nous ont emballés étaient cette année, il est vrai, moins nombreux que les autres, on repart de Gérardmer, comme à chaque fois, avec un tourbillon d'images dans la tête dans voici une série de compte-rendus non exhaustive (des liens sur les différents films vus cette année apparaîtront au fur et à mesure dans les jours qui viennent):

THE BAY de Barry Levinson

DEAD SUSHI de Noboru Iguchi

VENENO PARA LAS HADAS de Carlos Enrique Taboada

REMINGTON AND THE CURSE OF THE ZOMBADINGS de Jade Castro

GRABBERS de Jon Wright

VANISHING WAVES de Kristina Buozyte

THE FOREST de Darren Lynn Bousman

THE CRACK d'Alfonso Acosta

COME OUT AND PLAY de Makinov

HASTA EL VIENTO TIENE MIEDO de Carlos Enrique Taboada

Submit to FacebookSubmit to Google PlusSubmit to TwitterSubmit to LinkedIn

Ajouter un Commentaire


Code de sécurité
Rafraîchir